Il vient du breakdanse. Elle vient de la danse jazz et contemporaine. […] Pour sa deuxième création en tant que chorégraphe, Noé Chapsal explore le désir de fusion comme élan de vie. Avec Charlotte Louvel, ils forment un duo lancé dans une quête fusionnelle : celle de ne faire qu’un, de disparaître dans l’autre, en soi, ou dans le sol. [Source ]
Crédits Photos : Louis Perrin
Crédits Photos : Louis Perrin
Ardent, passionné, irraisonné, tout simplement fou … François Lamargot nous plonge dans une fable diablement festive. Sa nouvelle création réunit sept danseurs au plateau pour un univers à la frontière entre l’illusion et la réalité. Avec humour et dérision, le chorégraphe approfondit sa recherche entre danse, théâtre et vidéo pour aborder la perte du sensible et du cœur chez l’être-humain, au profit de la destruction collective. Une fresque drôlement frénétique comme traduction de la démence de notre monde. » Avez-vous déjà offert un bouquet de fleurs à votre corps ? Certains ont totalement oublié … «
➞ Sortie de Résidence : 12 Janvier 2024 / 18h30 – Studios Dyptik
Le duo Makinal (« machinale ») nous invite à observer les automatismes, les réactions mécaniques du quotidien ainsi que l’acceptation automatique des stéréotypes que nous créons dans nos liens sociaux, et à reconnaître notre « machine intérieure ».
➞ Sortie de Résidence : 23 Février 2024 / 18h30 – Studios Dyptik
Notre dernière nuit est un voyage initiatique entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Cette création, au format atypique de 3 épisodes, invite une communauté aussi puissante qu’éphémère à se retrouver dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde.
➞ Sortie de Résidence : 15 Mars 2024 / 18h30 – Studios Dyptik
➞ Sortie de Résidence : 12 Avril 2024 / 18h30 – Les Studios Dyptik
Deux hommes, deux façonneurs de matière, et la terre qui s’invite sur le plateau comme un liant. On les voit transporter des sacs de terre et de semences qu’il vont propager dans l’espace comme on sème ses espoirs et ses aspirations afin de les voir éclore. Tous deux à la recherche de l’endroit idéal pour cultiver. Ils vont devoir se partager un lopin de terre et y confronter leur savoir faire, ne considérant pas vraiment l’autre au départ, Il finiront par comprendre qu’en alliant leurs savoir-faire il gagnerons en efficacité.
➞ Sortie de Résidence : 10 Mai 2024 / 18h30 – Studios Dyptik
Inspirée du jeu des chaises musicales, Journey to Jerusalem est une métaphore des conflits sur le territoire palestinien, du droit de le posséder et de le conserver. Un cycle incertain où les 7 danseurs cherchent à retranscrire par les danses traditionnelles l’impact de cette lutte pour s’approprier cet espace où un seul triomphera.
📸 Cie Stereo 48
📹 Découvrir la vidéo de Blaak Production sur notre Chaine Youtube
LOOK – suée chorégraphique pour deux danseuses
LOOK se joue des apparences De celles que l’on poursuit et que l’on s’impose De celles qu’elles espèrent lorsqu’elles prennent la pose. Avec une gestuelle gracieuse, acrobatique et percutante, elles attirent votre attention dans une surenchère d’auto-représentations. Une course au paraître sur l’image de soi et de ses dérives qui alterne entre performances physiques et situations comiques. L’une se voit ainsi, l’autre se croit comme ça … Mais que se cache-t-il derrière cette perfection illusoire ?
📹 Découvrir la vidéo de Blaak Production sur notre Chaine Youtube
Plongez à la lisière d’un univers fantastique où les frontières entre illusion et réalité, hallucination et lucidité, s’effacent. Huit danseurs livrent une chorégraphie rythmée par la liberté d’une éclairagiste et d’un musicien. Les corps invertébrés des danseurs s’éveillent aux sons, faisant écho à leur humanité oubliée.
📸 Rä2photo / Découvrir la vidéo de SONAR aux Studios Dytpik
Notre développement se fait en parallèle avec celui de la technologie. Envahis par les réseaux sociaux, nous sommes partagés entre plusieurs dimensions, physique et virtuelle. Comment les réseaux sociaux influencent notre rapport au mouvement, notre rapport à l’autre et à notre solitude ? C’est l’idée sur laquelle se base ce solo.
📸 Rä2photo / Découvrir la vidéo de FORMLESSNESS aux Studios Dyptik
Si les dinosaures avaient pu parler et réfléchir comme nous, auraient-ils pu prévoir leur extinction ? Et qui sommes-nous ? Les héritiers de leur monde ? Nous petits mammifères, eux lézards géants…
Sous forme de conférence, les danseur.ses se placent à mi chemin entre la fable et le cours magistral scientifique pour nous raconter leurs histoires au travers d’un ballet animal.
📸 Cie D-DAL
Un duo qui explore dans le mouvement dansé la nervosité, la tension, la saturation, la gêne et l’état d’ébriété, en solo et en dialogue avec le corps de l’autre. Le tout articulé autour d’une trame qui part du corps ancré, pour progressivement évoluer vers un corps qui se perd dans l’ivresse et les vices qui peuvent en découler.
📸 Cie Felinae
Form est une exploration autour de trois danseurs, qui met en valeur les poses du corps humain pouvant marquer un sentiment ou une identité. L’humain n’y est plus représenté par sa faculté de penser avec son cerveau, mais plutôt par sa forme corporelle. Une création qui met en lumière le choc des cultures des êtres et des sentiments dans un univers obscur.
📸 Cie 100blazes
Sous-sol est un ballet de danse au sol, un ballet pour six Bboys ouverts à la scène et au floorwork. Les danseurs cherchent avec fluidité à renverser l’espace, à passer en dessous du sous-sol. Les tableaux emmènent le spectateur à la découverte des fondamentaux d’un style, revisités chacun leur tour sur plusieurs étages d’univers.
📸 Cie Allongé
Elda et Marthe sont deux danseuses au parcours atypique, naviguant entre danse hip-hop, contemporaine et cirque. Du Simple au Double s’est construite à partir de leur complicité, d’un amusements physique et psychologique : celui d’être collé, de ne faire qu‘un et de fusionner. A travers la danse, les deux danseuses interrogent les relations humaines et plus particulièrement les effets d’une relation double sur la personnalité de chacune.
IKO signifie en japonais: repos, acte de bravoure, influence, une invitation à rencontrer la philosophie et les corps. Une création à la croisée de deux mondes, le Parkour et l’art chorégraphique dans une scénographie à l’allure étouffante qui devient progressivement un terrain de possibilités infini.
📸 Tony Noël
Hylel présente des créations autour de l’esthétique de la culture jeune et urbaine des quartiers populaires. Marina Gomes proposera ici avec Asmanti’ un travail poétique autour du groupe, de la bande, dans le quartier : Attendre.. Rire.. Attendre… Espérer… Attendre… Désespérer…
Présentation publique le jeudi 5 mars à 18h30
Inspiré d’un sketch du célèbre humoriste suisse, Massimo Rocchi, Je viens de partir évoque un passé récent, un contre-courant spatial et temporel, une contradiction mouvementée. Dans cette pièce, Branca & Rafaël souhaitent mettre en lumière ces infimes moments qui séparent le passé du présent et le présent du futur. Avec deux danseurs, un musicien vocal, une enceinte et un banc…
Avec Branca Scheidegger, Rafaël Smadja et Dion Sumi dit Funkaztek
Présentation publique le jeudi 27 février à 18h30
Avec Triptyque de sen(s)timents, Amélie Jousseaume et Giovanni Leocadie proposent ici trois pièces indépendantes qui explorent le sensible : une histoire d’amour qui vire au suicide, la confrontation des émotions d’une femme et du temps compressé par nos modes de vie et la rencontre de deux corps par le biais de mailles de laine…
Pièce pour cinq interprètes, Molten part à l’exploration des lois de la physique nucléaires et transcende les possibilités d’interaction des corps. Edouard Hue imagine les danseurs prenant le rôle d’atomes, de protons, d’électrons… sur une scénographie épurée et une musique composée à base de nappes électroniques.
Présentation publique le jeudi 16 janvier 2020 à 18h30.
Mary Soffer quitte l’Egypte en 1957. Elle n’emportera qu’une seule valise, en cuir. Elle connaît la comptabilité, la couture et la cuisine. Une fois arrivée en France, l’art culinaire et son savoir des saveurs deviendra son dernier lien à sa terre natale. Molokheya est la suite de la précédente pièce de Rafaël Smadja : elGed(j)i. Il poursuit son exploration sur les thématique de l’ancien et de l’héritage, cette fois au travers du rituel de préparation d’une soupe égyptienne.
No Chão. Un duo pour une histoire de position. Proies en fuite de prédateurs ou prédateurs en quête de proies ? Essentiellement deux danseurs qui disent, ensembles, le qui-vive, la cavale, la traque ou la menace. Dans une sorte de jeu tour à tour tendre, brutal voire drôle, l’un et l’autre s’engagent contre cette adversité dont on ne sait rien.
Présentation publique le vendredi 23 février 2018 à 18h30
Émilie Tarpin-Lyonnet inaugurera l’année aux Studios Dyptik avec ENTROPIA, son premier solo. Émilie explore la symbolique de l’enfermement que l’on s’inflige à soi-même, et celle d’un passage obligatoire vers un bouleversement de son propre « système », dans le but de trouver l’équilibre en soi.
Cindy et Stessy EMELIE seront en résidence dans nos studios du 15 au 21 janvier. Elles souhaitent rassembler leurs forces et leurs identités autour d’un premier duo. Elles s’appuient sur leur histoire commune afin de se questionner sur ce lien si particulier qui les réuni, la gémellité. Qui suis-je dans ce binôme ? Quelle place j’occupe ? Quelle est la Femme que j’incarne ?
La compagnie V&F sera en résidence du du 3 au 10 décembre 2017, pour un travail autour de leur dernière création Improvi’Session, un essai chorégraphique axé sur l’improvisation, un freestyle entre trois interprètes, Fabrice Mahicka, Valentina Corosu, Yoli Lautenberg, et un créateur lumière, Guillaume Léger, qui conduit l’imagination et le mouvement des danseurs.
Plus d’infos.
En résidence du 3 au 10 novembre 2017
Représentation publique le jeudi 9 novembre à 18h.
Les Studios Dyptik accueillent la Compagnie Nouvelle Vague Méditerranéenne du 3 au 10 novembre pour un travail en résidence autour de Sens Croisé, création 2017-2018, une reprise de répertoire et une nouvelle écriture du solo Acme Akme, créé en 2011. Mélissa Dilvy apportera un regard au féminin et un sens croisé du solo sous le regard extérieur et chorégraphique de Karim Amghar, et de Lowriz Vo Thrung Ngon, assistant chorégraphe.
En résidence du 28 sept. au 5 oct. 2017 au Centre Culturel de La Ricamarie. Représentation publique le jeudi 5 octobre 2017 à 18h30, entrée libre.
La Piraterie sera accueillie dans le cadre d’une résidence hors-les-murs au pour un travail autour de SUBVERSIF, leur création 2017, puisant dans un vocabulaire propre à la danse Hip Hop, entre expérimentation et ouverture à la danse contemporaine.
En résidence du 25 au 29 septembre 2017
Représentation publique le ven 29 septembre 2017 à 18h30.
La Compagnie Massala sera présente dans nos studios pour une résidence autour de NASS. Fondée en 2006 par le chorégraphe Fouad Boussouf, elle puise son vocabulaire artistique dans la culture hip-hop, la danse contemporaine, le nouveau cirque, mais aussi les danses et musiques folkloriques de son pays d’origine, le Maroc.
En résidence du 10 au 15 juillet 2017
Représentation publique le mercredi 12 juillet à 18h30.
Santiago Codon Gras était résidence dans nos studios du 10 au 15 juillet 2017. Il est venu travailler sur son projet solo Divin@Media.com, présenté dans le cadre du festival TRAX et du concours TRAJECTOIRES 2017. Anagramme de Divina Comedia, Divin@media.com est une relecture de l’Enfer de Dante, mêlant parcours initiatique et questionnement sur soi.
En résidence du 5 au 13 juin 2017
Représentation dans le cadre du festival TRAX lors du concours Trajectoires le mercredi 14 juin.
Nacim Battou de la Cie Ayaghma est venu travaillé sur son premier solo Paradoxal Wild, qui tente de dessiner les contours et le souffle de sa démarche artistique. Une création solitaire comme lieu privilégié d’une expérimentation et d’un renouvellement esthétique, empreints d’une dimension politique et idéologique…
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En résidence du 14 au 21 mai 2017
Présentation publique le vendredi 19 mai à 18h30
Nous sommes heureux d’accueillir Rafael Smadja de la Cie Tensei qui viendra travailler sur sa dernière pièce On en fait quoi, sur le thème de l’écologie : « Enfoui sous des tonnes d’informations inutiles, colorié en vert et sloganisé vulgairement pour nous faire fuir. L’écologie, ce terme-insulte qui fait flipper l’Homme moderne…. »
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En résidence du 17 au 21 avril 2017
Présentation publique le ven 21 avril à 18h30
Kyzame est une pièce qui parle du rapport à soi, aux autres et à notre besoin d’appartenance. Sur scène trois interprètes, un homme, comédien et chanteur, et deux femmes, danseuses (Ingrid Estarque, Alexandra Jezouin), ne faisant qu’un avec leur homologue masculin.
En résidence du 6 au 12 mars 2017
Présentation publique le jeu 9 mars à 18h30
C’est le début de quelque chose de nouveau et de très excitant. Tu peux le sentir monter en toi, imploser en silence. Des yeux clignotants, des corps hésitants, des sons transcendants. Un temps figé dans la sincérité humaine. Ici pas de scénographie, juste deux individus en totale harmonie.
En résidence du 18 au 25 février 2017
Présentation publique le ven 24 fév à 18h30
Le désir de construire un spectacle pour enfants est vraiment le point de départ de ce projet. « Leur capacité à rêver le monde m’a toujours fasciné. Je veux maintenant m’adresser directement à l’enfant et construire pour lui. »
Olivier le François à la danse, Élise Escarguel en musique…
En résidence du 14 au 18 novembre et du 12 au 18 décembre 2016.
Présentation publique le ven 16 décembre 2016 à 18h.
Mêlant danse et langue des signes, ce spectacle est un « solo chorégraphique pour 2 danseurs ».
Danseur et réalisateur de films d’animation, Jean-Charles Mbotti Malolo vient faire suite avec « Les Mots » à son dernier court métrage « Le sens du toucher ». Quand nous n’arrivons plus à nous faire entendre, le geste peut-il nous permettre d’aller plus loin ?
En résidence du 26 septembre au 2 octobre 2016
Au centre de la pièce, une lueur permet de distinguer de légères silhouettes aux muscles bien dessinés, qui évoluent ensemble pour s’emmêler l’une dans l’autre, jusqu’à former une masse homogène au trait régulier. Puis, cette masse se déplace à travers une gestuelle lisse pour disparaître plus loin…
En résidence du 14 au 21 mai 2017
Présentation publique le ven 19 mai à 18h30
Après réflexion autour de ce que serait un acte artistique utile, Rafael Smadja conclue qu’il prendra la forme de la conscience sociale. « Et je gratte encore un peu plus et je trouve, au fin fond de ma matière grise, l’écologie (?) ». Enfoui sous des tonnes d’informations inutiles, colorié en vert et sloganisé vulgairement pour nous faire fuir. L’écologie, ce terme-insulte qui fait flipper l’Homme moderne…
En résidence du 9 au 14 mai 2016
Avec cette première pièce intitulée « AmnesiA » les trois chorégraphes/interprètes (Brice Rouchet , Loup Vilmet et Tom Vilmet souhaitent humblement se présenter. « AmnesiA » est une pièce qui nous parle de la rencontre et de l’évolution entre trois individualités différentes, qui se complètent pour ne former qu’un.
En résidence du 18 au 28 avril 2016
Dans cette première création, Yugson Hawks s’est intéressé aux sensations provoquées par le son. Instinct est une véritable expérience musicale, tant pour les spectateurs, invités à se laisser porter par le rythme, que pour les danseurs, guidés par leur intuition. Ici, la musique est le fil conducteur et c’est la résonance du son qui provoque le geste.
En résidence du 13 au 21 février 2016
De la musique au corps, du dialogue jusqu’au conflit. Du silence des mots émerge une forme de fragilité, qui construit la danse autour de la mémoire corporelle. La musique comme un rapprochement entre les personnes, entre les histoires qui se racontent. Elle retranscrit avec harmonie et poésie ce lien si fort. Sans cris, ni mots.
En résidence du 30 janvier au 12 février 2016
Identité en crescendo ou la danse d’un individu dans une société d’escadron, un nomade de l’intérieur criant ce que personne n’entend vraiment. Rafael Smadja explore les recoins du groupe , de la masse, pour mettre en lumière la force de l’individualité.
En résidence du 26 au 30 octobre 2015
L’autre est avant tout inconnu : il représente en conséquence une source d’enseignement.
Cet axiome de l’altérité se traduit chez Alexandre Lesouëf par la désignation d’un antagonisme entre le désir de recherche et l’attente du public.
En résidence du 16 au 20 mars 2015
Le corps a des mémoires que le cerveau a la capacité d’oublier. Nous partons du principe que le corps ne ment pas et que nous dansons ce que nous sommes. C’est en partant de ce point de vue qu’une discussion commence. Grâce à chaque membre, chaque partie, les corps conversent.
En résidence du 2 au 5 mars 2015
À travers un souvenir qui s’efface, « Le dernier qui s’en souvienne », sorte de tragédie contemporaine, traite de l’inexorabilité de l’oubli.
Entre nostalgie et numérique, un instant suspendu aux lèvres d’un vieil homme, une lutte à corps perdu…
